25 mars 2009
C'est toujours les autres qui meurent
Ce livre m’a intrigué sur plusieurs points. Notamment sur la narration. L’auteur, Jean-François Vilar arrive à nous intégrer dans la vie quotidienne de Victor Blainville. Ce dernier, qui est journaliste, a en effet trouvé un corps sans vie d’une femme dans un magasin abandonné au Passage du Caire.
Le narrateur nous décrit Paris dans ses moindres recoins, rien ne nous échappe. Il nous plonge dans le Paris anarchiste.
D’autre part, Jean-François Vilar nous emmène dans l’univers artistique de Marcel Duchamp.
En somme, « C’est toujours les autres qui meurent » est un très bon polar noir à mettre dans toutes les mains.
Publicité
Publicité
Commentaires
A
F
C
J
L